The Oropouche virus (OROV), a member of the Simbu group's Orthobunyaviruses, is a vector-borne virus with three single-stranded negative-sense RNA segments and a spherical lipid sheath. It is mainly spread by Culicoides paraensis midges and, to a lesser extent, Culex quinquefasciatus mosquitoes. OROV, first reported in Trinidad and Tobago in 1955, has since spread to Brazil, Colombia, and Peru, causing serological epidemics and recently invading nonendemic regions. The severity of the disease can vary from cold symptoms to severe illness, such as meningitis. Recent outbreaks in Acre and Brazil have emphasized severe fetal outcomes such as microcephaly and congenital anomalies as a result of vertical transmission of the virus. Deforestation, urbanization, and climate change contribute to the major spread of OROV by increasing vector populations and promoting the transfer of the virus. The diagnosis is difficult due to symptoms such as those of dengue and chikungunya. Laboratory diagnosis involves two techniques: serological and molecular; nested reverse transcriptase polymerase chain reaction and other advanced methods include viral isolation and immunofluorescence. Vaccine development is still an active area of research; potential vaccine candidates include VSV-OROV and epitope-based receptor mimics. Recent travel-related cases in the US and Europe highlight the need for improved surveillance and prevention strategies, highlighting the importance of vector control and personal protective measures. This review sheds light on the epidemiology, clinical manifestations, diagnostic challenges, and assessment of OROV prevention and treatment programs, intending to guide public health intervention and research efforts. RésuméLe virus Oropouche (OROV), un membre du groupe Simbu des Orthobunyavirus, est un virus transmis par vecteur possédant trois segments d’ARN simple brin de polarité négative et une enveloppe lipidique sphérique. Il est principalement transmis par les moucherons Culicoides paraensis et, dans une moindre mesure, par les moustiques Culex quinquefasciatus. L’OROV, signalé pour la première fois à Trinité-et-Tobago en 1955, s’est depuis propagé au Brésil, en Colombie et au Pérou, provoquant des épidémies sérologiques et envahissant récemment des régions non endémiques. La gravité de la maladie peut varier de symptômes pseudo-grippaux à des affections graves telles que la méningite. Les récentes épidémies dans l’Acre et au Brésil ont mis en évidence des conséquences fœtales sévères telles que la microcéphalie et les anomalies congénitales, résultant d’une transmission verticale du virus. La déforestation, l’urbanisation et le changement climatique contribuent largement à la propagation de l’OROV en augmentant les populations de vecteurs et en favorisant la transmission du virus. Le diagnostic est difficile en raison de symptômes similaires à ceux de la dengue et du chikungunya. Le diagnostic en laboratoire repose sur deux techniques : sérologique et moléculaire ; la réaction en chaîne par polymérase avec transcriptase inverse nichée (nested RT-PCR) ainsi que d’autres méthodes avancées comme l’isolement viral et l’immunofluorescence. Le développement de vaccins constitue encore un domaine actif de recherche; les candidats potentiels incluent le VSV-OROV et les récepteurs mimétiques basés sur les épitopes. Les cas récents liés aux voyages aux États-Unis et en Europe soulignent la nécessité d’améliorer la surveillance et les stratégies de prévention, mettant en évidence l’importance du contrôle des vecteurs et des mesures de protection individuelle. Cette revue met en lumière l’épidémiologie, les manifestations cliniques, les défis diagnostiques et l’évaluation des programmes de prévention et de traitement de l’OROV, dans le but de guider les interventions de santé publique et les efforts de recherche.
Generated Sep 17, 2025
The research is a review of existing literature and case reports to summarize the epidemiology, clinical manifestations, diagnostic challenges, and prevention strategies of Oropouche virus.
This research highlights the growing threat of OROV, emphasizing the need for improved surveillance, vector control, and vaccine development to mitigate public health risks, especially in pregnant women and vulnerable populations.
The paper provides a comprehensive overview of diagnostic techniques, including nested RT-PCR and immunofluorescence, and discusses potential vaccine candidates for OROV.
This work is novel in its emphasis on the link between ORO, vertical transmission, and congenital anomalies, as well as its discussion of global spread and the need for international surveillance and prevention strategies.
Srivastava, Shriyansh, Sah, Sanjit, Mehta, Rachana et al.
Salvato, Richard Steiner
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