Mother-to-child transmission of HIV remains a significant public health concern, particularly in resource-limited societies. Antiretroviral therapy, which effectively reduces transmission risks and enhances maternal health, is central to global efforts to control HIV among pregnant women. However, uptake of this therapy continues to face various challenges. This study investigates barriers to the utilization of antiretroviral therapy among HIV-positive pregnant women in Birnin Kebbi, North West Nigeria. A cross-sectional study design was adopted, employing key informant and in-depth interviews involving 320 HIV-positive pregnant women accessing antenatal care. Findings show that key barriers include socio-demographic factors such as younger age, low educational attainment and poor socio-economic status. HIV-related stigma significantly discouraged disclosure and delayed healthcare-seeking behaviors. Misconceptions regarding the safety of antiretroviral therapy during pregnancy further deterred women from initiating and adhering to treatment. Inadequate healthcare infrastructure and geographical accessibility also hindered access to therapy services. This study concludes that interventions focusing on community education to reduce stigma, correcting misconceptions about therapy safety, improving healthcare infrastructure, and integrating antiretroviral therapy into antenatal care could substantially increase utilization, reduce transmission, and improve maternal and child health outcomes in Nigeria. La transmission mère-enfant du VIH demeure un problème majeur de santé publique, en particulier dans les sociétés à ressources limitées. Le traitement antirétroviral, qui réduit efficacement les risques de transmission et améliore la santé maternelle, est au cœur des efforts mondiaux de lutte contre le VIH chez les femmes enceintes. Cependant, l'adoption de ce traitement continue de se heurter à divers défis. Cette étude examine les obstacles à l'utilisation du traitement antirétroviral chez les femmes enceintes séropositives à Birnin Kebbi, dans le nord-ouest du Nigéria. Une étude transversale a été adoptée, utilisant des informateurs clés et des entretiens approfondis impliquant 320 femmes enceintes séropositives accédant aux soins prénatals. Les résultats montrent que les principaux obstacles incluent des facteurs sociodémographiques tels que le jeune âge, le faible niveau d'éducation et le statut socio-économique défavorable. La stigmatisation liée au VIH a considérablement découragé la divulgation et retardé les comportements de recours aux soins de santé. Les idées fausses concernant la sécurité du traitement antirétroviral pendant la grossesse ont dissuadé les femmes de commencer et d'adhérer au traitement. L'insuffisance des infrastructures de santé et l'accessibilité géographique ont également entravé l'accès aux services de traitement. Cette étude conclut que les interventions axées sur l'éducation communautaire pour réduire la stigmatisation, corriger les idées fausses sur la sécurité des traitements, améliorer les infrastructures de santé et intégrer le traitement antirétroviral aux soins prénatals pourraient accroître considérablement l'utilisation, réduire la transmission et améliorer la santé maternelle et infantile au Nigéria.
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Tajudeen O. Yahaya, Titilola F. Salisu, Israel O. Obaroh et al.
Wang, Min, Igharo, Amechi E, Oyebamiji, Mary O et al.
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