Knowledge, Practices, and Acceptability of Vulvar Self-Examination in Patients in Colposcopy and Vulvar Dermatology Clinics.

Source: PubMed

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This study reveals significant knowledge gaps in vulvar anatomy among highly educated women at higher risk for vulvar cancer. Although most expressed interest in learning Vulvar Self-Examination (VSE), only a few could correctly identify vulvar anatomy. Prior VSE instruction was linked with better knowledge and medical-seeking behavior for vulvar abnormalities.

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Summary

OBJECTIVE: Our study investigated current knowledge, practices, and acceptability of Vulvar Self-Examination (VSE) in a population at higher risk for vulvar cancer. METHODS: Patients presenting to colposcopy and vulvar dermatology clinics at Women's College Hospital, Toronto, Canada were recruited. Participants received a questionnaire adapted from a similar Italian study conducted in 2021. Statistical analysis was completed using descriptive statistics, Chi-square test, Fisher's exact test, and linear logistic regression. Research Ethics Board approval was obtained (#2022-0104-E). RESULTS: From October 2022 to July 2023, 264 participants completed the survey (71% response rate), consisting of 46% colposcopy patients and 54% vulvar dermatology patients. Median age of participants was 49.5 (range 23-87). 87% of participants had attained a Bachelor's Degree or higher. Overall, 86% of participants had never been taught VSE before. Only 33% of participants could correctly draw and label a simple sketch of the vulva. Most (95%) were interested in learning more about VSE. Patients who had looked at their vulvas at least once before scored better on 7/9 knowledge-based questions and drawing a vulva sketch (P < 0.05). Patients who had been previously taught VSE were more likely to seek medical attention for vulvar abnormalities (P < 0.05). Sociodemographic characteristics including younger age, non-White ethnicity, and lower education were associated with lower scores on knowledge-based questions and/or a vulva sketch (P < 0.05). CONCLUSION: Knowledge gaps exist in vulvar anatomy in a sample of highly educated patients at higher risk for vulvar cancer. Knowledge was higher in those who had previously engaged in VSE and there was high interest in learning VSE. Future directions include further teaching and study of VSE practices and attitudes across Canada. OBJECTIF: Notre étude porte sur les connaissances, les pratiques et l'acceptabilité de l'autoexamen de la vulve dans une population à haut risque de cancer de la vulve. MéTHODES: Des patientes se présentant aux cliniques de colposcopie et de dermatologie vulvaire du Women's College Hospital, à Toronto (Canada), ont été recrutées. Les participants ont reçu un questionnaire adapté d'une étude italienne similaire menée en 2021. L'analyse statistique a été réalisée à l'aide de statistiques descriptives, du test du chi carré, du test exact de probabilité de Fisher et de la régression logistique et linéaire. L'approbation du comité d'éthique de la recherche a été obtenue (#2022-0104-E). RéSULTATS: Pour la période d'octobre 2022 à juillet 2023, 264 participantes ont répondu à l'enquête (taux de réponse de 71 %), soit 46 % de patientes en colposcopie et 54 % de patientes en dermatologie vulvaire. L'âge médian des participantes était de 49,5 ans (intervalle : 23-87 ans). Au total, 87 % des participantes détenaient un baccalauréat ou un diplôme d'études supérieur. Dans l'ensemble, 86 % des participantes n'avaient jamais eu d'explication sur l'autoexamen de la vulve auparavant. Seuls 33 % des participantes ont pu dessiner et étiqueter correctement un simple diagramme de la vulve. La plupart (95 %) souhaitaient en savoir plus sur l'autoexamen de la vulve. Les patientes qui avaient déjà regardé leur vulve au moins une fois ont obtenu de meilleurs résultats à 7 des 9 questions basées sur les connaissances et au diagramme de la vulve (p < 0,05). Les patientes à qui l'on avait déjà expliqué comment faire l'autoexamen étaient plus susceptibles de consulter un médecin pour des anomalies vulvaires (p < 0,05). Certaines caractéristiques sociodémographiques, notamment le jeune âge, les groupes non blancs et la faible scolarisation, ont été associées à des scores plus faibles aux questions basées sur les connaissances et/ou au diagramme de la vulve (p < 0,05). CONCLUSION: Il y a un manque de connaissances sur l'anatomie de la vulve dans un échantillon de patientes très instruites présentant un haut risque de cancer de la vulve. Les connaissances étaient plus élevées chez celles ayant déjà pratiqué un autoexamen de la vulve et il y avait un intérêt marqué pour apprendre comment faire l'autoexamen. Les orientations futures comprennent la poursuite de l'enseignement et de l'étude des pratiques et des attitudes en matière d'autoexamen de la vulve à travers le Canada.

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