La conjecture de Mordell, énoncée en 1922, prédit que les solutions entières d'une équation diophantienne définissant une courbe projective de genre au moins deux sont finies. Au cours du siècle depuis sa formulation, plusieurs approches et preuves ont été développées, ainsi que de nombreuses extensions encore conjecturales.
The Mordell conjecture: origins, approaches, generalizations -- The Mordell conjecture predicts that a diophantine equation defining a smooth projective curve of genus at least two has only finity many solutions in a given number field. The century that ran since its statement, in 1922, gave rise to several approaches, several proofs, and vast extensions most of which are still conjectural. This text is based on the oral presentation and aims at recalling this story. La conjecture de Mordell pr\'edit qu'une \'equation diophantienne d\'efinissant une courbe projective lisse de genre au moins deux n'a qu'un nombre fini de solutions dans un corps de nombres donn\'e. Le si\`ecle qui s'est \'ecoul\'e depuis son \'enonc\'e, en 1922, a vu plusieurs approches, plusieurs d\'emonstrations, ainsi que de vastes extensions dont la plupart sont encore conjecturales. Ce texte, qui reprend l'expos\'e oral, s'efforce de retracer cette histoire.
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Netan Dogra, Sudip Pandit
Carlos Gómez-Rodríguez
Melvyn El Kamel-Meyrigne
Melvyn El Kamel-Meyrigne
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