Radiological Outcomes in Recovered COVID-19 Pneumonia Cases at 1-year Follow-up: The "Post-COVID-19 Lung Study" in Dedicated COVID-19 Care Setting in India.

Radiological outcomes are initially interpreted as post-COVID-19 lung fibrosis in short-term follow-up of recovered COVID-19 cases in post-COVID-19 care settings and during long-term evaluation, these abnormalities are defined as post-COVID-19 sequalae's. In the present study, post-COVID-19 lung abnormalities were evaluated as "residual lung abnormalities (RLAs)" as radiological outcomes phenotypes. Prospective, observational study initially included 1000 COVID-19 reverse transcription-polymerase chain reaction confirmed cases with lung involvement documented and radiological severity phenotypes categorized on high-resolution computerized tomography (HRCT) thorax as mild, moderate, and severe as per lung segment involvement bilaterally at the entry point. Final radiological outcomes were defined by performing a radiological assessment done at 1 year of discharge from the hospital in cases with specified inclusion criteria. Radiological final outcome phenotypes were defined as radiological lung abnormalities (RLAs) and categorized as resolving, persistent, and progressive types documented in HRCT imaging at 1 year of follow-up. Finally, we have included 209 cases with RLAs. Covariates recordings of age, gender, comorbidity, laboratory parameters, and interventions such as oxygen support and oxygen plus ventilatory support requirement during hospitalization were done. Statistical analysis is done using Chi-square test. RLAs were documented in 20.73% (209/1000) cases. Final radiological outcomes were documented as resolving at 72.24% (151/209), persistent 19.61% (41/209), and progressive 8.13% (17/209). A significant association was documented between RLAs and duration of illness at the entry point (P < 0.00001), laboratory parameters at the entry point (D-dimer, C-reactive protein, interleukin-6) (P < 0.00001), radiological computerized tomography severity phenotypes (P < 0.00001), and interventions required in the indoor unit (P < 0.00001). A significant association was observed between RLAs with covariates such as age, gender, diabetes mellitus, ischemic heart disease, hypertension, chronic obstructive pulmonary disease, obesity, and lung functions assessment by spirometry at 1 year follow-up (P < 0.00001). Radiological lung abnormalities (RLAs) are new radiological classification of post-COVID-19 lung sequelae and are categorized as resolving, persistent, and progressive. Final outcomes phenotypic classification showed an important role in further workup and treatment plannings of these RLAs during follow-up. Importantly, the proportionate number of progressive phenotypes has underlying rheumatological predisposition, and the large number of cases in resolving phenotypes doesn't need any treatment; whereas few cases in the persistent category need protocolized follow-up. Résumé Introduction:Les résultats radiologiques sont initialement interprétés comme une fibrose pulmonaire post-COVID dans le cadre du suivi à court terme des cas de COVID-19 guéris dans les établissements de soins post-COVID, et lors de l’évaluation à long terme, ces anomalies sont définies comme des séquelles post-COVID. Dans la présente étude, les anomalies pulmonaires post-COVID ont été évaluées comme des « anomalies pulmonaires résiduelles (APR) » en tant que phénotypes de résultats radiologiques.Méthodes:Étude observationnelle prospective, initialement incluse 1000 cas de COVID-19 confirmés par RT-PCR avec atteinte pulmonaire documentée et phénotypes de gravité radiologique classés sur HRCT thoracique comme légers, modérés et sévères selon l’atteinte bilatérale du segment pulmonaire au point d’entrée. Les résultats radiologiques finaux ont été définis en réalisant une évaluation radiologique un an après la sortie de l’hôpital dans les cas présentant des critères d’inclusion spécifiques. Les phénotypes finaux des résultats radiologiques ont été définis comme des anomalies pulmonaires radiologiques (APR) et classés comme types résolutifs, persistants et progressifs documentés sur la TDM thoracique à un an de suivi. Finalement, nous avons inclus 209 cas avec RLA. Les covariables d’âge, de sexe, de comorbidité, de paramètres de laboratoire et d’interventions telles que l’apport d’oxygène et les besoins en oxygène ainsi que l’assistance ventilatoire pendant l’hospitalisation ont été enregistrées. L’analyse statistique a été réalisée à l’aide du test du Chi carré.Résultats:Les RLA ont été documentés dans 20,73 % (209/1000) des cas. Les résultats radiologiques finaux ont été documentés comme résolus dans 72,24 % (151/209), persistants dans 19,61 % (41/209) et progressifs dans 8,13 % (17/209). Une association significative a été documentée entre l’IRA et la durée de la maladie à l’entrée [p<0,00001], les paramètres de laboratoire d’entrée (D-dimère, CRP, IL-6) [p<0,00001], les phénotypes de gravité de la TDM radiologique [p<0,00001] et les interventions requises dans l’unité intérieure [p<0,00001]. Une association significative a été observée entre le RLA et des covariables telles que l’âge, le sexe, le diabète sucré, la cardiopathie ischémique, l’hypertension, la BPCO, l’obésité et l’évaluation de la fonction pulmonaire par spirométrie à un an de suivi. [p<0,00001].Conclusion:Les anomalies radiologiques pulmonaires (ARP) sont une nouvelle classification radiologique des séquelles pulmonaires post-COVID et sont classées comme résolutives, persistantes et progressives. La classification phénotypique des résultats finaux a montré un rôle important dans l’évaluation ultérieure et la planification du traitement de ces RLA au cours du suivi. Il est important de souligner que la proportion de phénotypes progressifs a une prédisposition rhumatologique sous-jacente, et le grand nombre de cas de phénotypes résolutifs ne nécessitent aucun traitement ; alors que peu de cas dans la catégorie persistante nécessitent un suivi protocolaire.