Positive mental health (PMH) is an essential component of mental health and well-being. While population-level data show a decrease in youth PMH during the COVID-19 pandemic, there are sex differences that have not been examined. Data from the 2017, 2019 and 2021 Canadian Community Health Survey were used to examine youth (12-17 years) PMH before and during the COVID-19 pandemic. Sex-specific prevalence of high self-rated mental health (SRMH) and average life satisfaction (LS) for each year were calculated and disaggregated by sociodemographic characteristics. Differences between years were quantified, and statistical significance was determined using t tests (p value < 0.004 after Bonferroni correction). From 2019 to 2021, there were significant decreases in the prevalence of high SRMH (from 66.4% to 52.3%) and average LS (8.7 to 8.2) among female youth, at the overall level and across the majority of sociodemographic groups. As for males, no significant decreases were seen at the overall level. After disaggregation, a significant decrease in prevalence of high SRMH was observed from 2019 to 2021 among male youth living in Quebec and nonimmigrant male youth. There were no significant changes in the prevalence of high SRMH or average LS from 2017 to 2019. The sex-specific differences in PMH varied across sociodemographic characteristics. The PMH of female youth appears to have been affected during the COVID-19 pandemic more than that of male youth. There were sex-specific differences in PMH across sociodemographic groups, suggesting that not all youth were equally affected. Ongoing surveillance with an intersectional lens is needed to better inform public health strategies. La santé mentale positive est une composante essentielle de la santé mentale et du bien-être. Alors que les données à l’échelle de la population révèlent une diminution de la santé mentale positive chez les jeunes pendant la pandémie de COVID-19, les différences entre les sexes sont demeurées inexplorées. Nous avons utilisé les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2017, 2019 et 2021 pour explorer la santé mentale positive des jeunes (de 12 à 17 ans) avant et pendant la pandémie de COVID-19. La prévalence d’un niveau élevé de santé mentale autoévaluée (SMAE) et la satisfaction moyenne à l’égard de la vie ont été calculées en fonction du sexe pour chaque année et ont été ventilées par caractéristique sociodémographique. Les différences entre les années ont été quantifiées, et la signification statistique a été déterminée à l’aide de tests t (p < 0,004 après correction de Bonferroni). Entre 2019 et 2021, on a observé une diminution statistiquement significative de la prévalence d’un niveau élevé de SMAE (de 66,4 % à 52,3 %) et de la satisfaction moyenne à l’égard de la vie (de 8,7 à 8,2) chez les filles, un déclin qui a été observé de manière générale et dans la plupart des groupes sociodémographiques. En ce qui concerne les garçons, aucune diminution notable n’a été observée de manière générale. Après ventilation, une diminution statistiquement significative de la prévalence d’un niveau élevé de SMAE a été observée entre 2019 et 2021 chez les garçons vivant au Québec et chez les garçons non-immigrants. Il n’y a pas eu d’évolution statistiquement significative en ce qui concerne la prévalence d’un niveau élevé de SMAE ou la satisfaction moyenne à l’égard de la vie entre 2017 et 2019. Les différences sexospécifiques associées à la santé mentale positive ont varié en fonction des caractéristiques sociodémographiques. La santé mentale positive des filles semble avoir été davantage affectée pendant la pandémie de COVID-19 que celle des garçons. Des différences sexospécifiques ont été observées au sein des divers groupes sociodémographiques en ce qui concerne la santé mentale positive, ce qui laisse entendre que les jeunes n’ont pas tous été affectés de la même manière. Il faudra exercer une surveillance continue avec une optique intersectionnelle pour mieux orienter les stratégies en matière de santé publique. Overall, significant decreases in high self-rated mental health (66.4% to 52.3%) and average life satisfaction (8.7 to 8.2) were seen among female youth from 2019 to 2021, but not among male youth. There were no changes in high self-rated mental health or average life satisfaction from 2017 to 2019, suggesting that the COVID-19 pandemic and its wider impacts could have contributed to the decrease seen in 2021. Significant decreases in high selfrated mental health were seen among males who identified as nonimmigrants, or who lived in Quebec. For females, significant decreases in high self-rated mental health and/or mean life satisfaction were seen across every sociodemographic characteristic except ethnic/cultural groups. Dans l’ensemble, des diminutions statistiquement significatives de la prévalence d’un niveau élevé de santé mentale autoévaluée (de 66,4 % à 52,3 %) et de la satisfaction moyenne à l’égard de la vie (de 8,7 à 8,2) ont été observées chez les filles entre 2019 et 2021, mais pas chez les garçons. Il n’y a pas eu de changements de la prévalence d’un niveau élevé de santé mentale autoévaluée ou de la satisfaction moyenne à l’égard de la vie entre 2017 et 2019, suggérant que la pandémie de COVID-19 et ses répercussions à plus grande échelle pourraient avoir contribué à la diminution observée en 2021. Des diminutions statistiquement significatives de la prévalence d’un niveau élevé de santé mentale autoévaluée ont été observées chez les garçons qui s’identifiaient comme non immigrants ou qui vivaient au Québec. Chez les filles, des diminutions statistiquement significatives de la prévalence d’un niveau élevé de santé mentale autoévaluée ou de la satisfaction moyenne à l’égard de la vie ont été observées pour toutes les caractéristiques sociodémographiques, à l’exception du groupe ethnique ou culturel.
Get AI-generated insights about this paper's methodology, results, and significance.
Kim, Seojung, Chi, SuHyuk, Chae, Boram et al.
Jeong, Jae Yeon, Jeong, Yoo Mi
Risner, M., Hu, L., Stamoulis, C.
Norton, Amanda, Rosella, Laura, Adams, Matthew et al.
No citations found for this paper.
Comments (0)